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Musiques électriques, musiques amplifiées ou musiques « actuelles » ?
Quelle que soit la dénomination qu’on préfère, rien n’aurait été possible sans la fée électricité.
Comme dit Keith Richards*, « les enregistrements ont permis d’accéder à l’expression, au feeling de la musique […] C’était comme si on avait levé un voile ».
Ajoutez à cela l’avènement de la société de consommation, pour laquelle le disque devient un produit de masse destiné à une jeunesse en recherche de libération et d’hédonisme, les décibels et l’excitation des concerts, et vous obtenez quelques cocktails explosifs dont les générations successives de jeunes se sont emparés depuis les années 50… et qui ont généré des millions de dollars.
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Spécialiste des musiques électriques, Bernard Poupon dispense formations et conférences dans diverses structures : universités, bibliothèques, conservatoires, centres culturels, centres de formation, festivals, associations, établissements scolaires, …
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Outre ses activités de formateur et de conférencier, Bernard Poupon est également directeur adjoint des Bibliothèques de Montreuil (93100), bibliothécaire (cat. A), responsable du Secteur Musique.
Cette expérience professionnelle continue lui est précieuse dans ses activités de conférencier et de formateur : connaissance des différents publics, de leurs pratiques et de leurs goûts musicaux ; adéquation avec la demande et le niveau des auditeurs ; réflexion sur la mutation des bibliothèques et nouveaux services liés au numérique.
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*Keith Richards (guitariste des Rolling Stones), dans Life (Robert Laffont 2010, pour la traduction française).